pour l’essor de la poésie provençale.
« Ce fut en 1854, par un beau dimanche fleuri du mois de mai, dans la liberté et la gaîté d’un repas, dans un commun emportement de verve et d’enthousiasme juvénile, que sept amis, Roumanille, Paul Giéra, Aubanel, Anselme Mathieu, Brunet et Tavan réunis chez l’un d’eux, Giéra, au castel de Font-Ségugne, appelèrent à la vie l’école nouvelle et lui donnèrent son nom. Elle se nomma le Félibrige. Ils se nommèrent les félibres. »
Pierre Lasserre auteur d’une biographie et d’une étude des œuvres de « Frédéric Mistral. Poète, moraliste et citoyen » (1932 Editions Prométhée).
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le 8 octobre 2020 par délibération du Conseil municipal.
Note de présentation au conseil municipal de Sceaux
Délibération acceptée à l'unanimité